Question : Que faire lorsqu’on est un pro-Poutine de base et qu’on est à court d’arguments face à l’opposant Kasparov ?
Réponse : On fait voler un phallus héliporté pour perturber ses meetings politiques.
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Quant à moi, je préfère imaginer cet objet volant dans les rues iraniennes ou d’Arabie saoudite, poursuivi par la sémillante police des moeurs…
NB : ceci n’est pas une caricature de Mahomet (ni une pipe)
Dialogue imaginaire :
– Mais comment pourrait-on convaincre les Occidentaux que nous ne sommes pas un narco-état ?
– Mmmmh, on pourrait construire un musée de la drogue et y mettre des peintures présentant notre leader combattant les trafiquants.
– C’est pas un peu gros ?
– Non.
Bienvenue au Drug Elimination Museum.
Je trouve le concept de réalité augmentée assez fascinant. L’idée est simple, mais vertigineuse : recouvrir le réel d’une nappe virtuelle. Ça donne des choses comme ça. Mais ça donne aussi des choses inquiétantes comme ce projet de masque de frog Design. Dans une vision assez sombre du futur, les concepteurs de l’objet expliquent que le masque viendra s’interposer entre nous et le monde. Il permettra de rendre beau ce que nous avons rendu laid. Il sera ce par quoi nous interagirons avec les autres*.
Plutôt fuir le réel que le combattre, semblent-t-ils nous dire.
* Je ne sais pas pourquoi mais facebook me vient à l’esprit.
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J’ai rencontré une exilée birmane il y a quelques semaines. C’était avant le cyclone Nargis. J’ai repris contacte avec elle après la catastrophe pour savoir où elle en était. Elle a accepté que je l’enregistre sous couvert d’anonymat. Je l’en remercie.
Son message est simple, les militaires détournent l’aide internationale, il faut donc que le personnel humanitaire étranger puisse accompagner la distribution. Au plus vite.
Extrait audio capturé via skype.
Audio.
C’était ce matin vers 10h30 dans l’émission « Connaissance » de Jacques Pradel. L’animateur revenait sur la terrible histoire du « Docteur la Mort » qui a sévit dans les dernières années de l’apartheid (85-94). Personnage que j’ai eu l’occasion de rencontrer à plusieurs reprises lors d’une enquête sur son programme de guerre bio-chimique contre les noirs.
Extrait
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